- Cela comprend un fonds principal de 160 millions de dollars et 40 millions de dollars supplémentaires pour des investissements de suivi.
- Le fonds cible des solutions numériques à faible intensité capitalistique, notamment des logiciels qui améliorent la gestion des actifs énergétiques comme les fermes solaires ou les réseaux de recharge pour véhicules électriques.
- Contrairement aux approches traditionnelles qui favorisent les matériels coûteux et à long retour sur investissement, Blue Bear privilégie des cycles plus courts et des rendements élevés en se concentrant sur l’innovation logicielle. Le portefeuille restera limité à 15 entreprises.
- À SURVEILLER : L’ours bleu, la licorne et la pensée magique. Tout a caractérisé l’IA jusqu’à présent, sauf une “faible intensité capitalistique”. On ne voit guère pourquoi il devrait en être autrement dans l’environnement. Mais on ne peut en revanche exclure que les bailleurs de fonds (LP) de Blue Bear aient été dissuadés par l’élection de Donald Trump.
200 millions dans l’IA pour le climat et l’énergie
La société de capital-risque californienne Blue Bear Capital a levé 200 millions de dollars (environ 186 M€) pour investir dans des start-ups qui utilisent l’intelligence artificielle dans les secteurs de l’énergie, des infrastructures et du climat.